- Sandrine
- Orange
- 2007
- Puy-de-Dôme
Il faut rappeler qu’à cette époque (2007-2010), Mr Bxxxxxxx (Directeur UPRSE) avait dans sa cible les petits sites, de nombreux collègues étaient soumis au chantage de la mobilité géographique s’ils refusaient d’accompagner la fermeture de leur service.
L’idée était de laisser penser que les départs reposaient sur le volontariat. Ainsi beaucoup de collègues de l’UPRSE basés sur le site de Clermont ont, par peur de la mobilité, anticipé leur changement de poste, devenant alors consentants malgré eux et permettant à Mr Bérenguer de fermer des services vides !
Le service Marketing Réseau (dans lequel je travaille), localisé sur Clermont-Fd a été victime de ces agissements, alors même que nous étions mobilisés sur un dossier stratégique (le PPP Auvergne). Nous n’avons pas cédé à la pression de la direction mais à quel prix !
Celle d’une répression syndicale délirante de la part de Mr Bxxxxxxx, (conditionnée également par mon soutien à des collègues de Clermont, victimes d’une fermeture arbitraire de service) : en effet, identifiée comme sous-positionnée par ma hiérarchie, j’ai été confrontée à l’opposition ferme de ce monsieur pour mon passage au grade supérieur. Les méthodes employées pour justifier la posture d’obstruction de Mr Bxxxxxx ont été désastreuses tant sur le plan moral que physique, ce au point d’être dénoncées par la commission égalité pro de la DTRSI.
J’avais, à ce moment-là, le sentiment que mes propres valeurs étaient attaquées, on me demandait de m’affranchir du harcèlement dont je faisais l’objet en m’invitant gentiment à faire fi des dérives autoritaires de Mr Bxxxxxxxx et surtout d’attendre son départ.
De fait ,à ma souffrance on m’opposait le pragmatisme.