- AC
- Orange
- 2007
Suite à un retour de prêt de compétences décembre 2007, qui n’a duré que 2 semaines, mon poste a été supprimé sans même m’avertir – plan NeXt - et me suis retrouvé à partir de cette date dans un placard qui dure encore aujourd’hui.
Entre 2009 et 2011 j’ai même été installé dans un étage vide, seul sans même un téléphone puis j’ai reçu sous la pression de Christian xxxxxx et du CHSCT après plusieurs alertes et plusieurs arrêts de maladie (dépressions), un poste a été créé de toute pièce pour moi, histoire de me donner une activité, je suis le seul qui exerce ce métier dans tout Orange !!!
Métier non répertorié nulle part dans ARCQ.
Bien sûr pendant toute cette période, la hiérarchie a gelé mes augmentations et supprimé mes parts variables et cela avait un but, que je démissionne, puisque la RH de l’époque me poussait vers la sortie.
J’ai fini par porter mon dossier aux prud’hommes pour perte de carrière et harcèlement.
Les Prud’hommes ont jugé Orange à me verser mes PV (20 908 euros) et m’a débouté sur le volet harcèlement, alors que les pièces présentés étaient à charge, encore consultable.
Orange s’est portée en Appel.
En Appel la Cour a condamné Orange à me verser des dommages et intérêt pour harcèlement 22 000 euros.
La Cour d’Appel a reconnu le harcèlement et confirmé l’arrêt des prud’hommes.
Or suite à une requête en erreur matérielle, la Cour d’Appel m’a débouté sur le volet salaire sur une erreur d’écriture, mais a confirmé le harcèlement, j’ai donc restitué les 20 980 euros.
Voilà les faits et reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires