- Nathalie
- Orange
- 2008
- Puy-de-Dôme
• 1er trimestre 2008 : décision prise par Yves Bxxxxxx (directeur de l’UPR SE) de supprimer mon poste et celui de ma collègue exerçant la même activité, alors même qu’il a dû embaucher à Lyon pour nous remplacer - les mêmes postes existant dans les Alpes ont été maintenus à cette époque-là
• mai 2008 : notre dossier est passé en CE → à la question « Pourquoi (les postes de) Clermont-Ferrand ? », je n’ai jamais eu de réponse
• juin 2008 : gel de mon salaire - quand ma responsable m’a remis le courrier annonçant la non-augmentation de mon salaire, elle m’a simplement dit « Tu comprends, leur but est de te faire partir ! »
• septembre 2008 : entrevue à ma demande avec mes responsables (N+1 et N+2) et un représentant du personnel - objet = comprendre les critères et arguments ayant conduit la hiérarchie à m’attribuer une augmentation salariale nulle
• novembre 2008 : à notre demande, le dossier de suppression des 2 postes de Clermont-Ferrand est passé en CHSCT
• décembre 2008 : courrier m’annonçant la suppression de mon poste et m’indiquant de me rapprocher de « l’Espace Développement » - aucune proposition de nouveau poste
• de décembre 2008 à avril 2010 : je n’avais donc plus de poste (« mise au placard ») – à ma demande insistante, j’ai pu exercer 3 missions temporaires pour différentes Unités, à partir du 1er avril 2009
• mai 2010 : ré-intégration à l’UPR SE dans le service Marketing Réseaux, suite aux demandes expresses des Commissions nationale et régionale
En conclusion, cette période a été source d’un très grand mal-être, qui persiste encore (en grande partie) plus de dix ans après. A titre confidentiel (l’entreprise n’est pas au courant, je n’ai surtout pas voulu en parler compte tenu de ses conclusions toujours hâtives et des utilisations qu’elle pourrait en faire …), je suis soignée pour dépression nerveuse depuis 2010 et les médecins ont clairement établi le lien direct avec la période de harcèlement que j’ai subi pendant près d’un an et demi (2008 à mai 2010).