- un maltraité parmi d'autres
- ccor nord de france Troyes
- 2005
- Aube
Les prémices de l’évolution fut la modification de nos appellations par exemple : un exemple aide technicien perdait cette appellation pour devenir un 1.2, appellation qui soit disant devait être identique ou similaire à d’autres fonctions ou services public.
Peu de temps après il nous à été dit que nous ne dépendions plus de Paris du fait de la refonte des services mais de Reims et que de ce fait le bon temps était fini et qu’il fallait que nous comprenions que nous n’ étions plus "indispensables" et qu’il fallait que nous trouvions un autre poste ou à défaut nous serions dirigés sur une plateforme MOBICARTE qui avait été mise en place sur troyes.
Mes documents m’ indiquent que par décision n° 2005/09 du 4 NOVEMBRE 2005, je serais moi et mes collègues rattachés au CCO&R NORD de France.
Nous avons eu droit à un sevrage par de jeunes "psychologue" chargés de nous faire comprendre que France Telecom était en pleine mutation, et que la seule solution était soit de partir vers le privé ou de se plier aux exigences de FT.
Ayant acquis une maison et y ayant aménagé ma mère, je me voyais mal déménager vers un futur incertain.
N’étant pas né France Telecom et ayant un passé et une expérience du privé et voyant ce qui s’y passait, j ai fait contre fortune bon cœur et me suis dit qu’à mon age la solution la plus sage etait d’aller travailler sur la plate forme client mobicarte.
Mes collègues ont subis les mêmes incertitudes puis les pressions et les fausses informations de FT et peu ont quittés FT et se sont donc rendus à l’ ’évidence que nous étions des consommables et plus des techniciens.
Arrivés sur la plateforme on nous à imposé des horaires ,sans aucun forme de procès, ce qui à déclenché des différents et des accrochages avec la direction de cette plateforme
Nous faisions parti du VIVIER, agréable comme comparaison.
Collaborateurs, vivier, c’est une triste image de nos personnes.
Cette direction clamait haut et fort que ce n’ était pas les "GENS de Bercenay" qui feraient régner leurs lois, mais que nous allions nous plier à ses demandes et ordres.
Ambiance très tendue vous pouvez vous imaginer, car la formation dispensée était de très courte durée et ne nous à pas préparé à un tel changement, de plus formation donnée par des responsables eux même pas très motivés et peu enclins à nous aider.
Toutes les demandes d’aménagements de nos horaires nous étaient refusés en prétextant que le bon temps était fini.
Certains de mes collègues ont eu comme moi des débuts difficiles car de passer d’un poste de technicien à celui de conseiller est un bouleversement.
Moment très dur où plusieurs de mes collègues et des autres techniciens déjà versés dans ce service se plaignaient du manque d’ aide et de soutient des encadrants et du peu de considération à notre égard.
Beaucoup de mes collègues ont été consulter leurs médecins pour raisons de santé.
Mal de dos, mal être, brimades.
Par la suite mon chef de service nous à proposé un changement de poste et passer du service clientèle mobicarte à un nouveau travail qui devait se mettre en place, c’est à dire LE RECOUVREMENT.
Pour échapper à l ’enfer de la plate forme mobicarte beaucoup se sont pensés qu’avec notre chef ils serait bien de voir cela comme une évolution et une reconnaissance car ce dernier nous encadrait et nous apportait son aide et son soutien face aux dossiers parfois délicats des clients
Mais nous ignorions que pour créer ce poste il y avait eu sur une autre plate forme qui se chargeait du recouvrement de grandes modifications et qu’ils en subissaient aussi le contre coup.
Par la suite j ’ai eu de nombreux soucis de log, c est à dire de connexion entre le serveur et mon poste de travail,via mon identifiant, cela à été reconnu par le service informatique de la plate forme mais qui n’y trouvait aucune solution et d ’ailleurs les places que j avais occupé étaient des poste que peu de conseiller voulaient reprendre car les soucis informatiques y étaient par la suite récurrents.
Convoqué plusieurs fois dans le bureau de mme M... qui prétendait que je mettais de la mauvaise volonté car je dépassais le temps qui nous était imparti pour traiter un client, alors que l’informaticien de service l’ avait informé de mes soucis de profil et que ne pouvant changer mon identifiant le soucis était réel et sans solutions.
De plus le mot avait aussi passé au responsable de la distribution des types d’appels,du type de client mobicarte à clients forfaits,non pas pour des raisons de service mais pour mettre la pression. et donc temps de traitements réduits d’ou plantages récurrents, les appels affluaient sans que le dossier du client précèdent ne soit clôturé,, l ’enfer mis à la disposition et aux ordres du responsable de l’établissement.
Mon responsable l’avait d’ailleurs confirmé.
A la même époque Jean-Michel LAURENT, que j’ ai eu plusieurs fois installé à ma rosace (4 poste sur une table ronde) avait d ’énormes difficultés à s’adapter à ce travail, et nous l ’avons vu perdu quant aux réponses à apporter aux clients.
Je récupérais souvent ses clients, car il lui était impossible de répondre aux clients car perdu avec les logiciels qui devaient normalement nous apporter une aide mais dont les moteurs de recherche était inadaptés et incohérents.
Ce qui m’a valu des remarques désobligeantes de la part de l équipe de la direction.
Ce qui m’a valu aussi d’être appelé dans le bureau de Mme M..., car j ’avais sois disant outrepassé les procédures de France Telecom en contactant personnellement le service informatique de Paris et- en mettant en cause les concepteurs de ce logiciel dont tous se plaignaient.
J’ai même eu le droit à un appel d’un "PROGRAMMATEUR" sur mon numéro personnel très tard en soirée chez moi, car j’avais écrit que c’était un "programmateur"…. Et qu’il me demandait si je savais ce que cela voulait dire ……
Ma réponse avait été qu ’un programmeur sait adapter un logiciel pour qu’il fonctionne et le corriger et l’adapter à la demande des clients et qu’un programmateur était comme sur les machines à laver "NON MODIFIABLE" donc comme la réponse qu’il m’avait faite.
Réponse qui m ’a valu un retour dans les bureaux de mme M... car étant passée au-dessus des procédures hiérarchiques.
Ma réponse à été que nous étions chez Orange et que Orange était une filiale privée de FT et donc comme elle n’entendait pas nos récriminations et soucis et difficultés que nous rencontrions il fallait bien que cela bouge et pas grâce à elle, mon responsable de service était présent car il craignait le pire au niveau des sanctions, et que j ’étais venu avec un enregistreur car elle m’avait menacée d’une mise-à-pied.en me disant que c ’était elle qui décidait ce qui était bien et qu’on était pas à Bercenay et que c ’était Orange le patron et qu’elle exécuterait les demandes qui lui était faites par la direction……????
Je lui ai rappelé que "FT avait ete pendant des années la vache à lait de Thomson et cela se répétait avec d’autres fournisseurs, car les resposables ne se donnaient pas la peine de faire remonter nos remarques.
Sa réponse avait été que ce n’était pas son travail.
A Bercenay en tant que techniciens parlant technique avec des techniciens nous étions écoutés et remerciés pour nos actions et résultats. mais les logiciels qui nous étaient mis à dispositions étaient obsolètes, inadaptés aux demandes et exigences de rapidités faites par notre direction pour réduire le temps de traitements des clients.
Là, sur la plateforme Orange, nous étions devenus des soit disant commerciaux qui en prenions pleins les oreilles, remarques désobligeantes et menaces de rigueur quand à notre incompétence, que nous étions des voleurs, etc, etc etc, du moins c’est ce que les clients prétendaient,(allez-vous faire pendre, la fenêtre est ouverte pour sauter dehors, etc, etc. pendez vous avec des élastiques etc, etc etc et j’en passe, Lents, plein de bugs, très anciens, et donc plus du tout adaptes à l’ évolution des demandes de rapidité d ’exécution demandés et imposés par la direction.
J’ avais en face de moi JM LAURENT qui au bout de quelques minutes se mettre à transpirer à grosses gouttes, je dis bien à grosses gouttes car hésitant dans ses réponses les clients ne faisaient pas de cadeaux.
PUIS EST ARRIVE CE JOUR OU :
J’ allais à l’ époque fumer mes cigarettes au dernier étage de bâtiment, local technique.
En redescendant rejoindre mon poste, j’ai entendu mme M... qui parlait avec une autre personne dire à cette dernière :
"Ce ne sont pas les gens de Bercenay qui imposeraient leurs lois sur cette plate forme et que jm Laurent aller se "plier comme les autres et que ce n ’est pas elle qui cèderait aux comédies qu’il faisait". Et qu’elle n ’allait pas elle voir sa carrière mis en jeu.
(Beaucoup de mes collègues se retrouvaient aussi confrontés à ces remarques et donc au stress et nous n ’avions aucune façon d’y échapper.)
JM Laurent à été plusieurs fois absent pendant de longues périodes, je pensais à l ’époque qu’il avait été reversé vers un autre service technique, comme il en avait fait la demande mais les postes proposés que ce soit chez FT ou dans d’autres administrations étaient des postes FICTIFS où qui n’avaient jamais existés et aucune demande de ces autres administration tel que éducation nationale ou territoriale, n ’étaient réelle.
Merci pour les mensonges ………………………j ’en ai aussi subi les contrecoups, à mes dépends……
" mais Mr vous êtes trop âgé et nous ne pouvons vous rémunérer à la hauteur de votre échelon…
Ou " Haaa ! vous venez de France Telecom, laissez nous votre curriculum, on vous répondra"
Ou " vous savez a 45 ans, vous êtes déjà âgé……., on recherche de nouvelles têtes"
On en à vu le résultat final, je m’en veux car j’ai vu comme d’autres de mes collègues arriver à des actions extrêmes et pour JM LAURENT n ’avoir pas comprendre sa détresse, trop soucieux de nos propres soucis et stress.
De plus je me permets de rajouter qu’ il n ’y a pas que les chefs qui ont été persécutés à devoir appliquer des procédures et prendre des décisions qui leurs paraissaient injustes et irréalisables, mais nous les petits, les moins que rien, nous nous avions à nous plier et à courber l’échine devant les exigences qui étaient demandés par certains de nos responsables et chefs et que certains appliquaient sans concessions ….
Et n ’oublions pas l’épisode où Orange qui avait le forfait ZEN dans ses forfaits avait après quelques années voulu réutiliser l’appellation ZEN et qui a du payer je ne sais combien de millions pour pouvoir réutiliser cette appellation, car une société avait posée un copyright sur cette dénomination ce qui nous a valu une augmentation des appels à effectuer ….sans doute pour combler les lacunes de nos dirigeants…. en doublant les appels entrants qui étaient programmables personnes par personnes donc pouvant mettre à rudes épreuves les conseillers clients récalcitrants, dont je faisait parti.
ayant travaille en informatique et ayant discuté avec des informaticiens cela m avait été confirmé
Je n ’ai pas retrouvé la date de cet événement, mais j ’avais dit a un des dirigeant passant sur la plateforme qu ’orange avait mis un copyright sur la couleur du logo, mais sur une appellation il avait eu une LACUNE que nous étions en train de combler.
Autant m’en rappelle ces deux informations avaient été confirmées sur les radios et la TV.
C’est comme le mot de passe sur les logiciels "administator" (qui est le mot de passe originel proposé par Microsoft" qui permettait de rentrer dans tous les logiciels et info orange,
C est un peu long mais cela explique où peut éclairer ou éclaircir la situation…